Bilan d'orientation ou coaching d'orientation : c'est le moment

Bilan d'orientation ou coaching d'orientation

La rentrée 2014 est déjà loin, un mois s'est écoulé, et les repères doivent être à nouveau en place pour l'année 2014-2015... Il est temps de penser à son orientation scolaire. 

 

L'orientation post-Bac des Terminales

Les élèves de Terminale, qui sont bien entendu concernés à très court terme avec APB, commencent à se poser de manière de plus en plus directe et persistante la question de leur orientation scolaire, de leurs choix d'avenir. Les parents, les professeurs essaient d'éclairer autant que possible ces choix cruciaux, mais l'approche objective et professionnelle du bilan d'orientation est encore la plus efficace pour travailler sur ce sujet.

 

Le bilan d'orientation ou coaching d'orientation pour les 1ère et seconde

Les élèves de première et de seconde sont aussi concernés au premier chef, parce que plus tôt les réflexions liées à l'orientation post-bac seront engagées voire bien avancées, plus tôt le jeune peut donner du sens à son investissement scolaire, et en conséquence avoir une motivation accrue. Celui ou celle qui sait quel niveau scolaire (ou dossier scolaire) est nécessaire pour atteindre la formation ou le métier de ses rêves aura forcément davantage de chances d'y arriver. Et le fait de déjà se projeter dans l'avenir lui permet de se concentrer à 100% sur ses cours...

 

L'orientation scolaire dès la fin du collège

Les élèves de 3ème peuvent eux aussi avoir des choix à faire avant la fin d'année, en particulier quand il s'agit de choisir dès cet âge entre les types de filières, générales ou technologiques et professionnelles. Et l'intérêt du bilan d'orientation est d'autant plus important que le jeune est à cet âge encore moins apte à prendre du recul vis-à-vis de lui-même.

 

Les post-Bac : du changement d'orientation à la préparation au monde professionnel

Enfin, les bacheliers qui, à Bac+1, Bac+2 ou plus, pensent à changer de filière de formation sont concernés, en début comme en fin d'année universitaire : soit parce qu'ils ont fait un mauvais choix initial, soit tout simplement parce qu'ils n'ont malheureusement pas le niveau requis pour les études choisies. N'oublions pas que 46% des bacheliers échouent en fin de première année post-Bac, et que la moitié d'entre eux sort du système sans diplôme.

 

A chaque âge sa problématique : si l'idéal est de se pencher sur la question le plus tôt possible à l'adolescence, le sujet reste d'actualité tout au long des études au lycée et après le Bac. Bonne réflexion !

 

 

Publié par Recto Versoi le 06/10/2014